"El comedor en plaza de Mayo"
Rien ne dit qu’on ne peut rien changer
Parce qu’on est tout petit
Rien ne dit qu’il faut laisser filer
Les deux tiers de sa vie
Rien ne dit qu’on ne peut résister
A l’Histoire qui s’écrit
Rien ne dit qu’on ne doit pas rêver
Et prendre le maqui
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Rien ne dit qu’un peu de nos baisers
N’éclairent pas la nuit
Rien ne dit qu’on ne peut réveiller
Nos éspoirs endormis
Rien ne dit qu’une seule de nos pensées
Ne peut changer nos vies
Rien ne dit que le vent des forêts
N’est pas le paradis
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Rien ne dit que les arbres blessés
Ne seront pas guéris
Rien ne dit que les ordres rangés
Seront toujours ainsi
Rien ne dit que les feux du danger
Ne seront pas détruits
Tout, tout nous dit que les temps vont changer
Avec les colibris
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
Nous voilà, nous sommes en vie
Et voilà, nous sommes unis
En (r)évolution des colibris
La Revolution Des Colibris
Rien ne dit qu’on ne peut rien changer
Parce qu’on est tout petit
Rien ne dit qu’il faut laisser filer
Les deux tiers de sa vie
Rien ne dit qu’on ne peut résister
A l’Histoire qui s’écrit
Rien ne dit qu’on ne doit pas rêver
Et prendre le maqui
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Rien ne dit qu’un peu de nos baisers
N’éclairent pas la nuit
Rien ne dit qu’on ne peut réveiller
Nos éspoirs endormis
Rien ne dit qu’une seule de nos pensées
Ne peut changer nos vies
Rien ne dit que le vent des forêts
N’est pas le paradis
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris
Rien ne dit que les arbres blessés
Ne seront pas guéris
Rien ne dit que les ordres rangés
Seront toujours ainsi
Rien ne dit que les feux du danger
Ne seront pas détruits
Tout, tout nous dit que les temps vont changer
Avec les colibris
Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
Nous voilà, nous sommes en vie
Et voilà, nous sommes unis
En (r)évolution des colibris
No hay comentarios:
Publicar un comentario