viernes, 21 de agosto de 2015

Zaz

 "El comedor en plaza de Mayo"



La Revolution Des Colibris



 Rien ne dit qu’on ne peut rien changer
Parce qu’on est tout petit
Rien ne dit qu’il faut laisser filer
Les deux tiers de sa vie

Rien ne dit qu’on ne peut résister
A l’Histoire qui s’écrit
Rien ne dit qu’on ne doit pas rêver
Et prendre le maqui

Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris


Rien ne dit qu’un peu de nos baisers
N’éclairent pas la nuit
Rien ne dit qu’on ne peut réveiller
Nos éspoirs endormis

Rien ne dit qu’une seule de nos pensées
Ne peut changer nos vies
Rien ne dit que le vent des forêts
N’est pas le paradis

Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris

Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
La révolution des colibris


Rien ne dit que les arbres blessés
Ne seront pas guéris
Rien ne dit que les ordres rangés
Seront toujours ainsi

Rien ne dit que les feux du danger
Ne seront pas détruits
Tout, tout nous dit que les temps vont changer
Avec les colibris

Nous somme le coeur, les poumons et le tronc
Nous somme l’ardeur, les forces et la passion
Nous somme le risque, la peur et la raison
Nous somme l’unique chance que nous avons
Nous voilà, nous sommes en vie
Nous voilà, nous sommes en vie
Et voilà, nous sommes unis
En (r)évolution des colibris

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